Entendons- nous bien sur les mots, high-tech, nouvelles technologies, objets connectés…Que se cache t-il derrière tous ces termes ?
Une définition simple de l’high-tech consiste à désigner toute technologie de pointe amenant une rupture. Un produit high-tech est donc un produit innovant et à la pointe tout comme les entreprises high-tech sont celles qui utilisent cette technologie.
Les NTIC sont les nouvelles technologies de l’information et de la communication. Elles sont utilisées pour le traitement et la transmission des informations. On y inclut le téléphone, internet et toutes les infrastructures et les systèmes qui permettent de fonctionner et d’échanger des données.
C’est un objet qui a la capacité de se connecter à un réseau de communication via la 4G, le Wi-Fi ou encore le Bluetooth et qui peut donc recevoir, stocker, traiter et transmettre des données. C’est à la fois un émetteur et un capteur d’informations qui peut recevoir et donner des instructions à un autre objet connecté.
Les nouvelles technologies sont partout dans notre quotidien : voitures, bras articulés, caméras intelligentes, montres connectées…Elles ont pour but de faciliter notre quotidien.
Elles s’intègrent dans tous les secteurs : automobile, énergie, médecine, agriculture etc.
L’arrivée de l’intelligence artificielle modifie encore plus le comportement humain et le monde du travail, elle améliore les capacités humaines et nous donne accès à des ressources qu’on ne pensait jamais atteindre. Il est évident que les entreprises doivent bien se positionner pour se servir de l’high-tech à bon escient.
L’enjeux pour les entreprises de l’high-tech est principalement économique. Le grand public est de plus en plus demandeur d’objets innovants mais dans un contexte BtoB, le champ des possibles est aussi vaste : de l’agriculture au secteur de la défense où le traitement des informations est essentiel, les objets connectés sont plus que jamais omniprésents.
Grâce aux objets connectés, les entreprises sont capables d’avoir des informations sur leurs clients et prospects mais doivent veiller à la sécurité et à la confidentialité des données transmises. L’enjeu de la révolution digitale est aussi de veiller au traitement, au stockage et à la sécurité des échanges et surtout au consentement de l’utilisateur pour accéder à ses données.
À cela s’ajoute un enjeu environnemental. Alors que l’high-tech semblait négliger cette question, la tendance pourrait s’inverser. Aujourd’hui les objets connectés et l’innovation peuvent se donner la possibilité d’être moins énergivores, plus écologiques, avec des matières premières et des ressources plus éthiques. Une préoccupation qui tend à avoir de plus en plus de poids à l’avenir.
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